Poésie confinée (et déconfinée !)
En mars 2020, nous sommes rentrés dans une période de confinement pour lutter contre la propagation du Coronavirus. Ce fut l'occasion pour moi de créer quelques textes, quelques poèmes, en observant, écoutant et réagissant à ma manière.
Nous sommes au début du confinement et certaines règles sont à appliquer.
Lors d'un de ses discours télévisé, le Président de la République utilise 6 fois l'expression: "Nous sommes en guerre". J'ai écrit 6 fois le mot "Paix".
Le prochain poème va dans le même sens en utilisant des homonymes du mot guerre et l'idée de garder une certaine humanité et humilité.
Le confinement amène à des situations disparates où certains souffrent de l'enferment et d'autres, les soignants, sont en suractivité. Y a-t-il une égalité dans cette histoire ?
J'eus un choc un soir, lorsque je fermais mes volets, en n'entendant que le silence.
Et rien d'autre.
Mais même enfermé, on peut goûter au printemps naissant.
Une variante avec un autre tableau et quelques mots différents
Etre confiné n'empêche pas de voyager
Nos animaux (pour ceux qui en possèdent) ont-ils été un réconfort pendant cette période ?
Un texte à l'attention d'un ancien collègue revenu du coronavirus et dont nous avons suivi la remontée au fil des jours ...
On parle beaucoup sur les réseaux de la "vie d'après" en espérant un nouveau monde. Mais avons-nous su réaliser ce qui s'était passé pour chacun de nous ?
Nous sommes mi-mai 2020 et le déconfinement est d'actualité. Nous allons pouvoir sortir de chez nous plus facilement. Mais pourquoi faire ? Consommés ?
Pour ma part, je me suis précipité sur les chemins et dans les champs et j'y ai vu un tableau de Vincent Van Gogh ...
Nous sommes le 2 juin 2020 et les médias font leur une avec l'ouvertures des terrasses des cafés, synonyme pour les politiques de liberté ! Étrange d'associer terrasse et liberté ?
En ce mois de Juin, des tensions sociales apparaissent par manque de reconnaissance et par des personnalités médiatiques qui les attisent :
